Ceci est un court résumé des points dont nous avons discuté jusqu’ici. Les détails et explications se trouvent dans les leçons de cette unité. De plus, si un point n’est pas clair, nous sommes toujours à votre disposition pour répondre à vos questions.
Une femme devient niddah suite à un saignement utérin. Celui-ci est souvent (mais pas toujours) dû aux règles mensuelles.
Selon la loi Rabbinique à laquelle nous sommes assujettis, tout flux sanguin rend niddah, qu’il y ait une eu sensation accompagnatrice (hargachah) ou non.
Une femme ne devient niddah suite à une tache que si celle-ci répond à toutes les conditions suivantes :
La tache est au moins de la taille d’un griss (19 mm de diamètre, soit environ une pièce de 2 euro cents ou un shekel israélien).
Elle a été trouvée sur une surface de couleur blanche.
Elle a été trouvée sur un objet qui est susceptible de contracter la toum’ah (impureté rituelle).
Elle a été trouvée à un endroit où il est concevable que l’origine du saignement provienne de l’utérus.
Il n’est pas logique d’attribuer cette tache à une source externe.
Du sang trouvé sur le tissu utilisé pour une vérification interne (bedikah) rend niddah même si la tache est plus petite qu’un griss.
Lorsque la femme n’est pas niddah, il est préférable de mettre des sous-vêtements de couleur et d’éviter de regarder le papier toilette.
Un écoulement qui est clairement de couleur rouge rend niddah . Il faut poser une question pour les écoulements ou taches de couleur noire, brune (y compris le brun rougeâtre), rose, dorée ou orange. Un écoulement de couleur transparente, blanche, ou jaune pâle ne pose pas de problème.
Une femme devient aussi niddah suite au saignement de l’hymen, un accouchement, certaines procédures gynécologiques, ou en proclamant qu’elle est niddah.
Un saignement causé par une coupure ou une abrasion ne rend pas niddah.